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Who's in da house ?

mercredi 31 août 2011

[Ciné] Final Destination 5 (3D)


Lorsqu'une bande de collègues parvient à déjouer les plans de la Grande Faucheuse en survivant à l'effondrement d'un pont, celle-ci revient se venger.

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Drôle, divertissant, mais prévisible à souhait. Gros avantage de cette séance de cinéma : les effets en 3D qui rendent super bien à l'écran et nous offrent des morts totalement loufoques mais délectables au possible. Rien n'égalera jamais le premier film, mais il est clair qu'on passe un relativement bon moment devant celui-ci. Surtout lorsqu'on ne paye pas !


6/10 (premier degré)
7/10 (millième degré)

mardi 30 août 2011

[Ciné] La Habitaciòn del Niño (Peliculas para no dormir)


Dans les couloirs sombres d'une grande maison, un enfant court, un poste de radio dans les bras. Lorsqu'il arrive à l'étage, il aperçoit une large flaque noire, se penche pour la regarder et disparaît, happé par son centre. Des années plus tard, Juan, journaliste sportif, sa femme Sonia et leur bébé emménagent dans cette vieille demeure de Barcelone. Les jeunes parents installent un baby phone dans la chambre de leur fils afin de surveiller son sommeil. Dès la première nuit leur en parviennent des bruits étranges. Suspectant un défaut technique, Juan se munit d'un système de surveillance vidéo. La nuit suivante, il découvre sur l'écran un homme assis à côté du lit du bébé. Attrapant un couteau, il se précipite dans la chambre mais n'y trouve que l'enfant. Bouleversé, il en parle à sa femme, puis alerte la police. Mais personne ne le croit... (http://www.cinemotions.com/modules/Films/fiche/31804/La-Chambre-de-l-enfant.html)

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Suck my spoilers ! Àlex de la Iglesia contribue ici à l'ébauche d'une série frissonnante, Peliculas para no dormir, et nous offre un petit cocktail de sa création, passablement pompé sur Mirrors et Shining, mais néanmoins fort sympathique à la dégustation. C'est la deuxième histoire de cette série que j'ai le plaisir de voir (cf. Para entrar a vivir pour la première) et c'est la deuxième fois que je suis agréablement surprise par la qualité des acteurs et de la réalisation. Je ne sais ce que valent les quatre autres films mais je vous conseille sans hésiter, et ce malgré les inspirations citées ci-dessus, La Habitaciòn del Niño, je vous garantis l'un ou l'autre petit sursaut.


9/10

mercredi 24 août 2011

[Autres] Bum Reviews - Paranormal Activity 2

[Ciné] The Stoning Of Soraya M.


Tiré d'un bouquin est basé sur des faits réel, ce film nous relate la discussion entre une femme du nom de Zahra et un journaliste de passage en Iran. Zahra cherche à rendre publics les derniers événements en date de son village. Il s'agit du calvaire de sa nièce, Soraya, mère de quatre enfants et soumise à un mari tyrannique qui souhaite se débarrasser d'elle, la laissant sans le sou avec ses deux filles, afin de prendre une nouvelle femme, à peine adolescente.

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Poignant et puissant. Des acteurs excellents, deux femmes à la force et au charisme sans pareille, une tragédie qui fait mal aux tripes. 
À voir.


10/10

mardi 23 août 2011

[Ciné/Théo] Louis Theroux's Most Hated Family In America !


Louis Theroux nous offre ici un reportage sur une famille assez particulière, faisant partie de la Westboro Baptist Church, les Phelps. Fred Phelps, patriarche et pasteur surnommé "gramps" et très fermé au dialogue, montre dans ce documentaire une colère et une condescendance sans pareille, rendant tout échange impossible, ce qui prouve définitivement l'état sectaire de la chose.

Les Phelps ont un objectif dans la vie : cracher à la gueule du monde et préparer l'humanité à la vengeance imminente de Dieu contre les hommes. Catastrophes naturelles, accidents de voiture, attentats terroristes, rien n'est laissé au hasard : c'est la colère de Dieu. Et ça ne va faire qu'empirer pour tous ces hommes et femmes qui se complaisent dans la luxure, la débauche, la tolérance et l'ouverture d'esprit. La famille aime aussi aller foutre la merde aux enterrements militaires, pour contester ce dernier hommage rendu à des personnes ayant donné leur vie pour une nation corrompue et condamnée. Car non, Dieu n'aime pas tout le monde. Dieu maudit et déteste tous ceux qui s'éloignent de sa volonté. Nous serons donc nombreux à brûler en Enfer, et les Phelps nous l'annoncent, le sourire aux lèvres, avec une joie non contenue. Plus il y a de morts, plus il faut se réjouir : Dieu ne sauvera que ses Élus !

À se demander, finalement, ce qu'il faut faire de Matthieu 4 qui nous dit ceci :

44But I say to you, love your enemies and pray for those who persecute you, 45so that you may be sons of your Father who is in heaven; for He causes His sun to rise on the evil and the good, and sends rain on the righteous and the unrighteous. 46“For if you love those who love you, what reward do you have? Do not even the tax collectors do the same? 47“If you greet only your brothers, what more are you doing than others? Do not even the Gentiles do the same? 48“Therefore you are to be perfect, as your heavenly Father is perfect. 

Les jeunes filles de la famille ont décidé de débloquer leur profil Facebook afin de laisser libre cours à la polémique. Envie de notoriété, d'attention, sans doute ? Je ne sais pas. Toujours est-il que je suis allée poster une ou deux fois sur le mur de Jael Phelps, et je lui ai envoyé un message auquel j'espère obtenir une réponse.

Le documentaire vaut la peine d'être visualisé. Même s'il s'agit d'un mouvement plus qu'isolé, les Phelps sont aujourd'hui suffisamment connus dans le monde (d'autant plus qu'ils se rendent à tous les funérailles de victimes diverses, la Norvège y est d'ailleurs passée !) pour que l'on s'y intéresse. 


samedi 20 août 2011

[Ciné] La piel que habito


Roberto est un brillant chirurgien esthétique dont la femme a péri dans un accident de voiture, brûlée vive. À jamais bouleversé par cette perte, Roberto décide de mettre au point la fabrication d'une nouvelle peau, dure et résistante à presque tout. Pour ce faire, c'est simple : il faut un complice, et un cobaye. La complice n'est autre que Marilla, la nourrice familiale qui a pratiquement élevé Roberto durant toute sa vie. Celle-ci vient s'installer dans le cabinet, désormais vide, du médecin et est prête à tout pour le protéger. Quant au cobaye...

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J'aurais pu trouver ce film excellent. Les acteurs sont talentueux, les scènes sont intelligemment filmées, la musique est appropriée, l'histoire est intéressante. Seulement voilà, j'aurais aimé voir mentionné qu'il s'agissait d'une adaptation du roman Mygale, de Thierry Jonquet. Ou plutôt, j'aurais aimé ne pas avoir déjà vu une adaptation de ce même roman un an auparavant, version nanar américain mais hautement glauque, malsain et violent. À la hauteur du roman, manifestement, même si je ne l'ai pas (encore) lu.

Problème de la version Almodóvar (qui sera malgré tout accueillie avec une salve d'applaudissements par le grand public) : le côté édulcoré, quasi bisounours, de cette histoire forte mais supposée impliquer une ambiance malsaine du début à la fin. Ici, on met l'accent sur une certaine esthétique, on se perd dans un brouhaha scientifique qui ne sert que de prétexte pour en venir au noeud de l'histoire, on veut que les acteurs aient une certaine grâce, et on contraste la perfection du corps de la femme avec d'autres scènes relativement grotesques qui n'ont rien à faire là, si ce n'est pour faire sourire la mémé de 60 ans assise deux rangées plus loin.

De plus, la thématique du Syndrome de Stockholm qui est un sujet qui me passionne dans les films en général, n'est pratiquement pas exploitée ici, pour mon plus grand désarroi. La psychologie des personnages est effleurée du bout des doigts lorsqu'il pourrait y avoir matière à creuser; preuve encore que le réalisateur a voulu rester dans une certaine superficialité.

Quant à la dimension sexuelle du film, je l'ai trouvée dérangeante. Grotesque ou retenue, mais jamais vraiment adéquate à la thématique. Le sexe aurait dû être cru, dérangeant, sale. Le trop politiquement correct de cette adaptation ou la dérision des scènes qui s'en éloignaient m'ont malheureusement coupée dans mon élan. Inutile aussi de dire qu'au bout de 30 minutes de film j'avais déjà compris la fin étant donné que je me suis rapidement souvenue de l'autre film et de l'ambiance qui y régnait. Pas de grande surprise, hélas, malgré mes attentes et cette bande-annonce aguicheuse. Une pointe de déception teintée d'un léger regret : à force de voir toutes les conneries disponibles dans le domaine cinématographique, plus rien ne parvient à me surprendre. Et j'en attendais plus de la part d'Almodóvar.
Notons, malgré tout, que pour quelqu'un n'ayant jamais entendu parler de cette histoire ni vu une quelconque adaptation de la chose, La piel que habito marquera considérablement et de manière, à mon avis, plus que positive : tant mieux, autant en avoir pour son argent !

En résumé pour ma part : une affreuse sensation de trop peu, malgré le cocktail visuellement sympathique (surtout la ravissante Elena Anaya).


6/10

jeudi 18 août 2011

[Ciné] Sisanje (Skinning)


Novica est un élève serbe, brillant en math, qui va à l'école à Belgrade. Contre toute attente, il tombe rapidement sous le charme de Relja, leader charismatique d'un gang de skinheads racistes cultivant le mépris des non-Serbes et de la police locale qu'ils jugent inefficace. Initialement désireux d'abandonner son statut de geek pour un peu de reconnaissance de la part de ses camarades, Novica se voit bientôt entraîné dans un univers de violence, de hooliganisme, de haine, et se met à penser une révolution nouvelle... 

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Si plusieurs films se sont déjà essayés à la thématique des gangs racistes, on ne peut ôter à Skinning son originalité et son authenticité. Simple, le film va droit au but. Il nous montre, sans longueurs inutiles, la progressive descente aux enfers d'un adolescent livré à lui-même, en quête de sens et de nouveauté. La violence de certaines scènes et le bon jeu des acteurs accrochent sans grande difficulté le spectateur qui se demande depuis la première seconde comment cette histoire va se terminer; et il n'est pas déçu après coup !

Bon après on n'est pas à l'abri de l'un ou l'autre cliché sur les flics ou les petits jeunes renfermés qui deviennent fachos, mais quel film en est exempt, après tout ?


8/10

mercredi 17 août 2011

[Ciné] Never Let Me Go


Kathy, Tommy et Ruth grandissent dans un pensionnat anglais coupé du monde aux apparences idylliques. Dès leur plus jeune âge, ils sont initiés à la créativité et à la camaraderie, et leur santé est la préoccupation majeure des professeurs. Un jour, une de leurs enseignantes, Miss Lucy, leur révèle cependant un lourd secret qui va chambouler l'existence des trois amis... Parallèlement, Kathy et Ruth semblent toutes deux intéressées par Tommy.

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 La critique suivante contient des spoilers. À bon entendeur, salut !

Mark Romanek adapte ici le roman du même nom de l'auteur japonais Kazuo Ishiguro. Si l'on peut y voir un léger plagiat du fameux The Island de Michael Bay, on ne peut que bénir le réalisateur de Never Let Me Go qui, contrairement à son prédécesseur, parvient à donner une âme à son film. 

L'histoire commence dans un cadre tout à fait normal et annonce la couleur dramatique des événements à venir. Ce n'est qu'au bout d'une petite demi heure que le mélange des genres se met en place et que la science-fiction surgit. Point d'effets spéciaux particuliers, point d'explications faramineuses. Uniquement des personnages au caractère fort (hormis celui interprété par Andrew Garfield qui excède du début à la fin de par sa fadeur et son incapacité à prendre des initiatives) qui essayent de comprendre le sens que la Science a décidé de donner à leur existence, des jeunes adultes en quête d'identité et d'origines.

De nombreuses questions se posent suite à ce film, des ébauches de réponses farfouillent dans ma tête; finalement la beauté de l'histoire réside dans l'absence de détails qui permet au spectateur d'avoir suffisamment d'éléments pour cogiter, mais pas assez que pour trancher.

Deux actrices de talent (on salue une Keira Knightley toujours aussi charmante et touchante), un scénario lent mais poignant, et une thématique qui, quoi qu'on en dise, ne tombera jamais dans la désuétude.

PS : Juste pour me la péter avec du vocabulaire de romaniste : cette histoire est une DYSTOPIE. Toi-même tu sais.


9/10

lundi 15 août 2011

[Ciné] Rise Of The Planet Of The Apes


Lorsque Will, un jeune chercheur ambitieux, pense avoir trouvé un moyen efficace pour lutter contre la maladie d'Alzheimer, il ne s'attend pas à ce que les tests pratiqués sur les chimpanzés se soldent par une originalité particulière : un développement considérable de l'intelligence de ces derniers. Bien sûr, quand on joue avec la génétique, ce n'est jamais sans effets secondaires.

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Étant petite, j'étais une fan inconditionnelle des originaux. J'avais trouvé celui de Burton à chier et n'attendais sincèrement pas grand chose de ce nouvel opus. Contre toute attente, j'ai été agréablement surprise. Certes, on reste dans du cliché hollywoodien à souhait : méchants scientifiques sans limites, gentils animaux victimisés, patriotisme gnan gnan, un peu de pathos ci et là, mais il n'empêche que, globalement, ce film n'est pas un échec. L'excellence des acteurs dont j'ai la flemme de chercher le nom (entre Dragy Malfoy et la bonnasse de Slumdog Millionnaire en passant par le vieux tueur en série dans Dexter, on est servis), la qualité des effets spéciaux, les rebondissements multiples nous font oublier les quelques défauts du film et, notons-le quand même, la physionomie un peu trop "humaine" des braves macaques.

Un bon petit film qui, bien que présageant un deuxième volet aux événements relativement prévisibles, nous laisse sur notre faim, implorant la suite avec impatience.


7,5/10

vendredi 12 août 2011

[Bouffe] Scampis à la Cath



Bon on va pas tourner autour du pot. J'ai improvisé ce truc en dix minutes parce que je prévoyais une raclette limitée en charcuterie et que je voulais à tout prix manger (et faire manger) des scampis. Mais comme ça ne va pas des masses avec la raclette de base, je l'ai proposé en entrée. En plus je m'ennuyais donc ça m'a occupée.

Ingrédients pour deux "verrines" :

- dix scampis décortiqués (ne nous cassons pas le cul pour rien)
- deux champignons tout cons
- un demi verre à eau de vin blanc
- 2 càs de sirop d'agave (et oui, encore !)
- 1 gousse d'ail (ou deux selon les goûts hein)
- quelques gouttes de concentré de citron
- cacahuètes écrasées à la fourchette
- un demi kiwi (l'autre demi tu n'as qu'à le bouffer, c'est ce que j'ai fait)
- sel, poivre
- pas présent ici mais une ou deux feuilles de menthe ou un peu de coriandre eurent été les bienvenus

Préparation :

Fais chauffer un fond d'huile à la poêle (si tu veux bien faire les choses tu fais un mélange avec un peu de margarine mais bon ne soyons pas tatillons). Ajoute l'ail, mélange, puis insère les scampis. Sale et poivre immédiatement, mélange bien. Lorsque tes scampis commencent à rosir, balance le vin et fais chauffer quelques minutes à feu vif.

Baisse ensuite le feu, ajoute le sirop d'agave, les champignons découpés en rondelles et le concentré de citron. Laisse mijoter quelques minutes. 

Dans une verrine quelconque (je n'avais que des verres à vin), partage la préparation puis décore avec des lamelles de kiwi et quelques éclats de cacahuète (et la menthe ou coriandre si tu as ça sous la main). A servir avec une petite fourchette à dessert (parce que manger avec les doigts c'est pas propre).

[Bouffe] Poulet sauté à la mangue


Bon je suis pas une reine de la présentation, c'est pas un blog culinaire ici, mais ma foi c'était fort sympa à bouffer !!

Ingrédients pour 2 personnes à grande faim ou 3 personnes à faim de moineau :

- deux gros blancs de poulet (soit tu achètes ça chez le marchand de volaille soit tu prends le poulet halal du Carrefour parce que franchement sinon ça pue du cul)
- 1 càs de sauce soja sucrée
- une grosse mangue ou deux petites
- 2 càs de sirop d'agave (ça devient mon dada ce truc oui)
- sel, poivre
- 2 gousses d'ail
- 1 grosse échalote
- 2cm de gingembre
- accompagnement au choix (pomme de terre au four, riz thaï/basmati, nouilles...) ; ici j'ai choisi un sachet de nouilles chinoises du Colruyt précuites à ajouter simplement à la fin de la préparation (mélanger et attendre que ça chauffe).

Préparation :

Découpe les ingrédients qui nécessitent le découpage. Mets tes dés de mangue(s) dans un petit bol à part. Dans une poêle suffisamment profonde qui possède un couvercle, fais chauffer un fond d'huile d'olive. Ajoute l'ail, l'échalote, le gingembre et fais les sauter pendant une minute à feu moyen. 

 Incorpore ensuite les morceaux de mangue(s), mélange, dépose le couvercle et laisse mijoter une dizaine de minutes. Pendant ce temps, découpe ton poulet et assaisonne-le généreusement (sel, poivre).

Fous le ensuite dans la préparation pour qu'il cuise avec le jus de mangue. Lorsqu'il commence à blanchir, ajoute le sirop d'agave et la sauce soja et fais mijoter encore dix minutes à couvercle fermé.

Intègre, pour finir, ton accompagnement. J'ai oublié de le faire mais je conseille de rajouter en dernière minute quelques cacahuètes grassement écrasées à la fourchette et quelques feuilles de coriandre, ça se marine très bien avec le reste !

mercredi 3 août 2011

[Ciné] Oranges & Sunshine

Le film raconte l'histoire de Margaret Humphreys, une assistante sociale qui a levé le voile sur un grand scandale de ce siècle dernier; à savoir la migration forcée de milliers d'enfants anglais en Australie, où les travaux forcés et les abus sexuels faisaient partie du quotidien, le tout sous la supervision bienveillante des Christian Brothers, une congrégation catholique impliquée dans des abus sexuels envers les enfants. Faisant fi des menaces, Margaret met tout en place pour se consacrer intégralement à son objectif : réunir les familles coûte que coûte.

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Touchant, pudique, et excessivement bien joué quoiqu'un peu lent. Pas de pathos inutile ni de détails salaces. Un drame sous fond historique qui marque sans pour autant bouleverser.
Parfois, c'est tout ce dont on a besoin.

8/10

lundi 1 août 2011

[Bouffe] Pommes cannelle au four


Assez idiot à faire, mais toujours très appréciable de bon matin quand t'en as marre de bouffer la même chose tous les jours.

Ingrédients :

- 1 pomme
- de la cannelle à volonté
- 1 càs de sucre (si possible brun)
- 1 à 2 càs d'eau (éventuellement mélangée à un peu de concentré de citron mais pas indispensable)

Préparation :

Coupe la pomme en petits morceaux et mets-les dans un plat allant au four. Ajoute la cannelle, le sucre, l'eau (citronnée), mélange et enfourne le tout pendant un bon quart d'heure (it depends on ton four). Les pommes vont un peu caraméliser, si ça te suffit pas rajoute du sucre pendant la cuisson. N'oublie pas de mélanger de temps en temps histoire que les pommes restent humides.

Avec un petit thé c'est parfait.

(PS : et tant qu'à faire, avec ces ingrédients, si t'es méga motivé, fais direct un crumble et rajoute une boule de glace vanille.)