J'ai un peu fait la flemmarde sur mes dernières découvertes cinématographiques, mais je dois reconnaître qu'en ce moment il n'y a pas de film qui m'ait foncièrement dégoûtée ou épatée au point que j'aie envie d'en parler. Donc je vais faire une petite liste avec quelques mots de commentaires.
1. Doomsday
4/10. J'accorde les quatre points à la gonzesse qui joue dedans. Bon, comme d'habitude, un virus anéantit une partie de la planète, les gens contaminés attrapent des pustules partout et se transforment en chiens enragés, tout ça tout ça, on connait, on l'a déjà vu dans tous les films de zombie, du chiantissime 28 jours plus tard, au dernier en date [REC] qui s'inspire vaguement de cette tendance avec un fond un peu plus religieux cependant.
Du coup le réalisateur, monsieur Neil Marshall, s'est dit qu'il allait élargir le panorama et nous pondre quelque chose de vaguement original : cette daube.
Nous sommes dans une Ecosse ravagée par une épidémie, les militaires ont construit une énorme muraille séparant les contaminés du reste de la population, petit à petit les rejetés finissent par périr, les survivants s'entredévorent et constituent deux clans rivaux : d'un côté, une bande de punks cannibales qui grillent de l'humain vivant avec Siouxsie and the Banshees en fond sonore (déjà ça, c'est un scandale, sales pouilleux), de l'autre côté des joyeux lurons qui ont reconstitué une société médiévale et les mises à mort qui vont avec.
Une bande de commandos (et notamment Bonnasse du film) se doit d'incorporer ce no man's land barbare pour trouver un éventuel vaccin au virus.
Inutilement gore par moments, chiant, part dans du grand n'importe quoi, déjà mille fois vu en mieux, on ne peut même pas prétendre à un divertissement. C'est nul.
2. The Bucket List4/10. J'accorde les quatre points à la gonzesse qui joue dedans. Bon, comme d'habitude, un virus anéantit une partie de la planète, les gens contaminés attrapent des pustules partout et se transforment en chiens enragés, tout ça tout ça, on connait, on l'a déjà vu dans tous les films de zombie, du chiantissime 28 jours plus tard, au dernier en date [REC] qui s'inspire vaguement de cette tendance avec un fond un peu plus religieux cependant.
Du coup le réalisateur, monsieur Neil Marshall, s'est dit qu'il allait élargir le panorama et nous pondre quelque chose de vaguement original : cette daube.
Nous sommes dans une Ecosse ravagée par une épidémie, les militaires ont construit une énorme muraille séparant les contaminés du reste de la population, petit à petit les rejetés finissent par périr, les survivants s'entredévorent et constituent deux clans rivaux : d'un côté, une bande de punks cannibales qui grillent de l'humain vivant avec Siouxsie and the Banshees en fond sonore (déjà ça, c'est un scandale, sales pouilleux), de l'autre côté des joyeux lurons qui ont reconstitué une société médiévale et les mises à mort qui vont avec.
Une bande de commandos (et notamment Bonnasse du film) se doit d'incorporer ce no man's land barbare pour trouver un éventuel vaccin au virus.
Inutilement gore par moments, chiant, part dans du grand n'importe quoi, déjà mille fois vu en mieux, on ne peut même pas prétendre à un divertissement. C'est nul.
6/10. Morgan Freeman et Jack Nicholson ont tous les deux un cancer en phase terminale, il leur reste six mois à un an à vivre et du coup, ils vont tels deux vieux gays, faire les quatre-cents coups à deux. Concept sympa, mais terriblement chiant lors de certaines scènes.
3. Before the Devil knows you're dead
7/10. Rien de transcendant, un drame familial qui se crée suite à un cambriolage raté organisé par deux frères avides d'argent. Une fin qui prend un peu à la gorge mais à laquelle on s'attend pertinemment. L'une ou l'autre scène de cul un peu inutiles dans la mesure où l'on ne souhaite pas regarder un film pornographique façon AphrodisiaEnPlusHard.
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