Je souffle sur tes peines lorsque tu m’appelles. Je souffle sur tes peines et je les emmène loin de toi. Lorsque les larmes ruissellent sur tes joues, je suis celle qui d’un coup de vent les sèche presqu’instantanément.
De jour comme de nuit, je veille sur ton âme. Je m’éloigne de temps en temps pour caresser les feuilles d’arbres ou remuer les vagues de la mer ; parfois aussi, je soulève les grains de sable et leur fais danser une valse enivrante jusqu’à ce qu’enfin, épuisés, ils se posent à nouveau sur le sol.
Quant à toi, je guide tes pas en t’entraînant tantôt à gauche, tantôt à droite. Je te pousse toujours vers l’avant et, lorsque tu t’apprêtes à faire demi-tour pour te jeter corps et âme dans les tourbillons de ton passé, je t’en empêche farouchement.
Je suis celle qui veut te voir vivre.
Je suis la meneuse de Sirocco.
De jour comme de nuit, je veille sur ton âme. Je m’éloigne de temps en temps pour caresser les feuilles d’arbres ou remuer les vagues de la mer ; parfois aussi, je soulève les grains de sable et leur fais danser une valse enivrante jusqu’à ce qu’enfin, épuisés, ils se posent à nouveau sur le sol.
Quant à toi, je guide tes pas en t’entraînant tantôt à gauche, tantôt à droite. Je te pousse toujours vers l’avant et, lorsque tu t’apprêtes à faire demi-tour pour te jeter corps et âme dans les tourbillons de ton passé, je t’en empêche farouchement.
Je suis celle qui veut te voir vivre.
Je suis la meneuse de Sirocco.
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