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Pour faire bref (en spoilant un chouilla): une bonne grosse dose de scepticisme. Etait-ce une bousasse déjà vue dans d'autres contexte ou bien un chef-d'oeuvre ?
Difficile de se faire une opinion tranchée, je tape donc dans la nuance de gris.
D'une part, l'épidémie inexplicable et inexpliquée on connaît, Shyamalan nous a offert The Happening avec une petite morale écolo sur un plateau d'argent malodorant, [REC] survient pour foutre une grosse frousse, The Mist débarque dans un gros nawak avec une fin à la con... On commence à en avoir l'habitude de ces huis-clos où les gens deviennent de véritables connards une fois livrés à eux-mêmes face à un phénomène étrange.
D'autre part, cependant, Blindness revêt une couverture d'optimisme à la Sa Majesté Des Mouches, où l'instinct animal perd contre l'aspiration à la civilisation, d'où la vue retrouvée du groupuscule qui a de nouveau appris à vivre, à se laver, à se nourrir correctement... Et cet aspect-là donne une note positive à l'ensemble du film et ne nous fait pas tomber dans un gouffre sans fond de pessimisme quant à l'espèce humaine.
Et Julianne Moore déchire.
Note personnelle ; 7,5/10
2 commentaires:
T'fais chier à parler de The Mist je l'ai pas encore vu :@
Bah vois-le mon coco :D
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