Lorsque Yannick se blesse suite à une chute à vélo, c'est à la mauvaise famille qu'il s'adresse pour chercher de l'aide. Le voilà bientôt séquestré chez un fanatique religieux et joueur professionnel d'échecs qui lui propose, après quelques séances de torture, le pari suivant : si Yannick gagne une partie, il est libre de s'en aller. Le souci : M. Baulieu n'a jamais perdu une seule partie de sa vie...
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Putains de Québecois, se dit-on pendant un bon quarante minutes. Et après, on s'habitue. On s'habitue parce que la tension constamment présente et le souci de travailler la psychologie de chaque personnage suffisent à nous faire oublier cet ignoble accent de petits bouseux qui ne savent pas communiquer correctement (si si, taggle).
Ce n'est pas non plus le thriller psy du siècle mais ça se laisse regarder très facilement, c'est lent mais captivant, les actions sont nombreuses malgré le rythme et l'évolution de chacun des personnages est intéressante à analyser.
Bref, sympatoche.
7,5/10
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Putains de Québecois, se dit-on pendant un bon quarante minutes. Et après, on s'habitue. On s'habitue parce que la tension constamment présente et le souci de travailler la psychologie de chaque personnage suffisent à nous faire oublier cet ignoble accent de petits bouseux qui ne savent pas communiquer correctement (si si, taggle).
Ce n'est pas non plus le thriller psy du siècle mais ça se laisse regarder très facilement, c'est lent mais captivant, les actions sont nombreuses malgré le rythme et l'évolution de chacun des personnages est intéressante à analyser.
Bref, sympatoche.
7,5/10
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